Après un voyage sans aucun charme avec la SNCF, plus une heure de bus, je retrouve le Sanca avec plaisir.
C’est beaucoup mieux que les transports en commun
Nous sommes fin Juin, il y a encore de la place.
A partit de la semaine prochaine, la fréquentation va considérablement augmenter, il faudra trouver des mouillages moins faciles.
Au petit jour, l’endroit est encore tranquille.
Mais à midi, ça rapplique de partout.
Au moment du repas, une mouette vient mendier des restes, mais c’est qu’elle va me ch… sur l’annexe, cette bête !
Je quitte Port Man pour Port Cros.
Je mouille en face de Port Cros, à l’arrière de l’ile Bagaud.
Le lendemain matin, je me lève aux aurores pour faire une ballade à Port Cros avant l’arrivée des navettes.
Je quitte le Sanca exposé au soleil levant pour rejoindre Port Cros.
En face, Port Cros est encore dans l’ombre.
A l’intérieur du port, tout est calme.
Dans moins de deux heures, les navettes vont déverser des centaines de promeneurs qui vont envahir les sentiers, et surtout les terrasses des cafés.
Pas de nouveaux locataires dans le petit cimetière.
En face, l’ile Bagaud avec le Sanca au mouillage.
En s’éloignant encore, je peux voir l’ile bagaud en entier.
Quelques vues qui valent la peine de marcher un peu.
Surtout que le chemin non plus n’est pas désagréable.
Le chemin descend jusqu’à la plage, et il faut remonter un escalier taillé dans le rocher, dont la hauteur des marches n’est pas spécialement conçue pour le troisième âge.
Au bout de l’ile, on arrive à la pointe de la galère, avec un mouillage plus exposé que Port Man, et qui n’est pas beaucoup fréquenté.
Un peu plus loin, l’entrée de Port Man, beaucoup plus grand, et aussi beaucoup plus fréquenté.
Dans une semaine, ce sera bondé.
Le retour se fait par un large chemin qui passe à l’intérieur des terres, par les crêtes.
Après 5H de marche, je retrouve mon annexe avec une faim de loup.
Après le repas, je quitte le mouillage pour Porquerolles.
On peut passer au raz des rochers, mais il faut éviter en été à cause des plongeurs.
Mouillage au Petit Langoustier pour être proche de Saint Mandrier dans la rade de Toulon où je dois prendre un nouvel équipage demain matin.
Je suis mouillé à côté d’un vieux gréement en bois qui promène des ados.
Le soir, les gamins se contentent de discuter sans mettre le rap à fond la caisse.
Le le demain, départ pour Saint Mandrier.
En face, la rade de Toulon.